Les facteurs génétiques semblent jouer un rôle dans ce phénomène, mais il est clair que l’évolution des comportements et des modes de vie n’améliorent pas la situation, notamment entre l’âge de 45 et 64 ans…
Bien sûr il y a maux de dos et maux de dos, et il faut clairement faire la distinction entre les maux de dos aigus (consécutifs à un effort physique, un faux mouvement, un traumatisme ponctuel, etc.) et les maux de dos chroniques, qui désignent des douleurs quasiment présentes en permanence.
Les maux de dos aigus doivent être soulagés rapidement par des médicaments appropriés (antidouleurs, anti-inflammatoires, relaxants musculaires, etc.) pour encourager la reprise des activités au plus vite et réclament aussi des mesures de prévention en vue d’éviter la récidive du problème.
Les douleurs chroniques en revanche sont moins faciles à traiter et demandent souvent plus d’investigations sur le plan médical pour déterminer l’origine du problème. Ensuite, selon les circonstances différents traitements peuvent être envisagés sur les conseils d’un généraliste, d’un rhumatologue ou d’un neurologue et il n’est pas rare de devoir recourir à la kinésithérapie et dans certains cas à une opération chirurgicale.
De nombreuses écoles du dos existent en Belgique. On peut y apprendre comment acquérir les bons gestes pour préserver la santé de son dos et améliorer sa qualité de vie. En quelques séances seulement on peut apprendre à adapter ses comportements et éviter bien des douleurs.
