Résultats: parfois, l’adolescente en nous refait surface, avec l’éclosion de malvenus boutons, d’autant plus difficiles à déloger que la plupart des traitements anti-acné sont interdits durant la grossesse (reste tout de même les crèmes aux acides de fruits ou au benzoyle peroxyde).
Qu’à cela ne tienne, nous avons pour nous l’atout «maquillage», ce merveilleux sauveur qui peut unifier notre teint et flouter nos imperfections en attendant le retour à la normale (le mieux étant un fond de teint correcteur).
A contrario, la peau peut aussi se la jouer «croco» en s’asséchant et se craquelant. Vite, un tri dans nos produits: exit les gels douches agressifs, à remplacer par des formules sans savons ou, plus sensuelles, à base d’huiles. A nous aussi les crèmes «doudounes» riches et hydratantes.
Appliquées sur le corps, elles contribueront à tenir à distance les fameuses vergetures, dues aux hormones et à la prise de poids.
A ce propos et n’en déplaise aux esprits chagrins, ces indésirables sont, en partie, évitables, grâce à un bon chouchoutage de peau et à un œil averti sur la balance (pour échelonner harmonieusement la prise de kilos)!
Option un: on évite et on triche (merci l’autobronzant: sans danger et bluffant!), option deux: on en profite mais en gardant à l’oeil le masque de grossesse (ces taches de pigmentations brunes sur le visage dues aux UV pendant la gestation).
On utilise alors un écran solaire haute protection et on prend sa dose de vitamine D sans culpabiliser (mais sans exagération tout de même)…